...et voilà que Bill Spight intervient. Je ne sais pas qui c'est mais il dit qu'il a écrit une révision des règles japonaises de 1989. D'après ses explications, la possibilité d'interpréter les yeux dans le groupe en seki comme de vrais yeux est un accident qui va à l'encontre de ce que les auteurs de la règle voulaient dire. Dans la pratique, on considère que tout le groupe "possède le damé", et donc est en seki.Pio2001 a écrit :Son analyse est que la règle japonaise moderne est ambiguë sur ce point, car elle n'explique pas ce qu'elle entend par "posséder un dame".
Donc ce que j'ai dit plus est faux.